Les liens sociaux

 

Dans toute société, les liens sociaux entre les individus sont toujours fondamentaux surtout lorque cette société est discrimé depuis des siècle et rejeté de toutes les autres civilisations. Cette notion de lien social tres fort est donc valable dans un ghetto, et les conditions de vie difficiles ne font que renforcer ce besoin individuelle d'avoir de bonnes relations avec autrui pour recevoir de l'aide qu'en on en a besoin et de pouvoir aidé quand on le peux ou lorsque les autres en ont besoin. Cela aide donc à vaincre les nombreuses peurs qu'avaient les juifs.

 

Juifs soudés dans le désarois
 


 

La solidarité était une valeur importante pendant la période des ghettos : certains juifs étaient prêt à accompagner leurs proches dans la déportation pour ne pas les quitter même si ils n'etaient pas désigner pour y aller. Comme dans le Pianiste le personnage principal ne voulais pas quitter ses proches et était pres à monter dans les wagons avec eux ignorant l'aide du policier juif qui le tirait des griffs de la mort.
Malgré les dures conditions de vie et la mort qui rôdait dans le ghetto, les juifs essayaient tant bien que mal d'être heureux : dans l'oeuvre Kazik, on observe que le narrateur a eu des relations amoureuses durant la guerre. Mais ces relations étaient difficiles car souvent, un conjoint périssait dans le ghetto (ce fut le cas de la conjointe de Kazik).

 

On a pus voir aussi lors de la visite au musée de la déportation que malgré les conditions dures du ghetto, l'amour existait. Nottament grâce a des photos d'un photographe qui a pris des photos întime d'un couple d'amoureux. Il existait aussi de l'amitier comme nous montrait certaines photos du photographe ou 3juifs qui s'amusaient devant l'objectif en rigolant. Les organisations de résistance était aussi une bonne passerelle pour tisser des liens sociaux ; les missions en groupe rapprochaient les résistants, et renforçaient leur amitié.


 

Photos intîme sur les les relations amoureuses

 

Photos d'enfants juifs qui joue au policiers qui emmene un juifs à la déportation ( Cette photos est tres marquante car il s'amuse avec un fait tres grave et qui les concernent )


Mais la solidarité n'était pas toujours présente, on remarque dans Le Pianiste que certains juifs choisissaient d'être dans la police juive afin d'essayer de se sauver de la déportation, et de vivre dans de meilleures conditions dans le ghetto, et ce même s'ils doivent persécuter les autres juifs. Les membres du Judenrat utilisaient également leur position hiérarchique pour tenter de sauver leur famille de la déportation. Comme dans toutes sociétés, il y avait des juifs individualistes, qui pouvaient tromper d'autres sembables pour leurs propres intérêts, en les vendant par exemple à la police.
La nourriture était une priorité pour les habitants du ghetto. Très rare, et souvent de basse qualité ; les juifs étaient prêts à tout pour trouver de quoi manger, et prenaient de très gros risques parfois pour assouvir ce besoin primordial.

 



 

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